Vous êtes un investisseur ou vous désirez acquérir un appartement en Israël dans le but de le mettre en location ? Dans ce cas là, fiscalité israélienne a prévu différent régime d’imposition intéressants et certains seront même selon l’envie du propriétaire.

Quant à l’exemption d’impôts : Les propriétaires percevant des revenus locatifs et qui répondent aux critères qui vont être énoncés seront dispensés de fiscalité comme le prévois la loi israélienne :

• Le bien étant destiné à de l’habitation et non à des fins locatives
• Si le locataire est un particulier
• Si le loyer mensuel ne dépasse pas les 5.010 nis (cette somme est actualisée tous les ans et se réfère au baux de l’année 2017)

 

Quant à l’impôt forfaitaire de 10% : Cette option est considérée comme la plus avantageuse car elle permet aux propriétaires de payer un impôt forfaitaire de 10% du montant des loyers perçus en un an selon l’article 122 de la loi israélienne sur l’imposition. Toutefois, cette solution présente aussi certains désavantages car cet impôt doit être payé au cours des trente premiers jours de la nouvelle année fiscale c’est à dire jusqu’au 30 janvier; mais aussi car il n’y aura aucun coûts, frais ou amortissements qui ne pourront être déduit de ces montants perçus et donc de l’impôt forfaitaire.

L’imposition sur le revenu via l’imposition des loyers : Les propriétaires peuvent dans ce cas là faire passer les loyers perçus en tant que partie intégrante de l’ensemble de leur revenus. Cela leur permettra donc de décompter les frais en rapport avec l’appartement comme les travaux, réparation, frais d’avocats ou les frais d’agence contrairement à l’impôt forfaitaires de 10%.

Pour conclure : Il est essentiel pour un investisseur ou un propriétaire de prendre connaissance du régime d’imposition qui lui sera appliqué lors de ses revenus fonciers avant la location de son bien afin de pouvoir définir de la meilleure manière quel sera le montant du loyer.

 

 

 

Source : credit immobilier en Israël